Le Père Vincent Et L’Épicière


On a évoqué dans un des premiers épisodes la vantardise de Vincent qui se glorifiait d’avoir tombé toutes les femmes du village.
Il exagérait, certes, mais… mais permettez-moi de vous narrer quelque unes de ses conquêtes
L’épicerie du village, ben oui, y en a qu’une… est tenue par un couple de commerçants arrivés là depuis quelques années. Dans les 35 ans, Lui est un peu lourd dans ses allusions auprès de la clientèle féminine. Surtout quand son épouse est pas là.
Je ne vous dis pas que c’est Germinal, mais ce saligaud a déjà pu s’en payer une tranche en échange de tranches de jambons… petit personnage !
Céline, elle, ne laisse jamais un client oser une plaisanterie salace. Et c’est aussi bien. Ce n’est pas Miss Epicerie, c’est seulement une femme agréable, avec des fesses callipyges façon Brassens.
Il aura fallu que le père Vincent se pointe pendant que Céline est seule et perchée sur un escabeau pour que tout se déclenche !
Vous avez déjà compris que la blouse laisse une perspective passionnante sur la patronne. Et Vincent, entré là sans intention…ben s’approche et se penche. Ce n’est pas bien ? Comme vous avez raison ! Et ça le retient ? Pas du tout !! il mate cette culotte mauve, ces deux cuisses surplombées de ces belles fesses. Et il bande, bien sur.
Il passe sa main sur le pantalon, pour essayer de loger sa queue sans qu’elle ne soit à l’équerre !!! Reste une sacré bosse. Et Céline qui baisse l’œil et voit ce truc de fou…Au lieu de vite redescendre, elle fait surtout mine de n’avoir rien vu ni entendu.
Elle s’étire plus haut, se tourne un peu, se penche. Elle prend des risques avec la loi de la gravité.
Trop de risques
Et la voilà qui bascule… le Père Vincent retient avec peine cette pauvre Epicière. Et si ses mains sont sous la blouse, c’est bien parce que c’était le plus court chemin pour rattr Céline !
Plaquée contre Vincent, son ventre confirme ce que ses yeux ont vu.

Ce petit vieux… est équipé d’un engin de course ! Pas pressée de se dégager de ce contact, elle s’appuie comme pour se reprendre sur la poitrine du papy, le remercie et son ventre essaie d’évaluer la longueur de l’objet. Et les informations qui remontent à son cerveau….repartent aussitôt en direction de sa petite culotte pour une humidification instantanée des lieux !
D’autant que Vincent qui a maintenu Céline ne lâche pas son étreinte, comme si le risque persistait. Et quand une blouse glisse …. Elle remonte. C’est donc à pleines mains que Vincent tient les fesses de Céline depuis sa presque-chute.
- T’as les plus belles fesses du village toué ! C’aurait été dommage de les abimer !!
- Oh mossieu Vincent !
- Ben oui, de bien belles fesses. Tu me rends tout chose !
- Je le sens bien, mossieu vincent !
-
- Vas donc fermer la porte avec la targette !
- Je suis une femme respectable !
-
- Mais je dis pas le contraire. Et faudrait pas qu’on te voit toute débraillée et encore perdue d’avoir failli te rompre le cou !
- Vous avez raison, c’est plus prudent !
Tu parles… C’est donc derrière la pile de petit pois en conserves que Céline se rapproche de Vincent.
Et elle découvre là toute la verdeur du personnage : Il a pas attendu plus longtemps pour ouvrir la braguette et sortir son calibre !
Céline palit.
D’envie.
Elle s’approche et quand Vincent pose sa main sur son épaule… elle tombe à genoux, nez à nez (image osée) avec la plus grosse queue qu’elle ait jamais approchée.
-allez la petiote, remercie-moi !
Appel direct.
Et la bouche bécote la hampe. Et les mains parcourent cette longueur, sentent les veines et la queue qui palpite. Soupèsent des grosses couilles. Et enfin, la bouche enfourne le gland !
Elle devient folle, l’Epicière ! Elle suce, lèche. Elle pompe hardiment.ses ongles griffent les fesses du bonhomme. Et sa bouche va et vient. La culotte est couleur mauve humide.
Vous voyez ? Si, si ! fermez les yeux et vous aurez une idée !
Les mains du vieux attnt la jolie tête et le pistonnage devient possessif. Il baise la bouche de la dame….
- Vas y bien, j’aime ta bouche, salope !
Protestations calmées par une nouvelle bordée
- Tu vas voir ce que c’est que d’être baisée. Tes fesses tout à l’heure, j’ai bien vu qu’elles sont en manque de bite ! Fais pas ta mijaurée, je vas te baiser pas plus tard que tout de suite !
Hop, direction l’étalage de légumes, la Céline est retournée, sa culotte tirée brutalement vers le bas, une main écarte les cuisses au niveau des genoux et l’instant d’après, une langue se balade sur un sexe affichant ses envies ! Les seins dans le plateau de haricots, les mains agrippées aux montant et Céline repousse son cul pour offrir à Vincent le meilleur d’elle-même !
Des claques sonores sur ces bonnes grosses fesses…. Et cette langue qui vient lui tirer des gémissements de plus en plus rapprochés.
L’idée de cet énorme mandrin qui va la baiser ? La qualité de succion de cette langue, de cette bouche ?
L’Epicière s’envoie en l’air dans un orgasme démesuré.
Et quand elle sent Vincent se relever, quand elle sent la queue qui glisse tout le long de son sillon…. Pour s’immobiliser devant la chatte…
Le Vincent pousse un « Han » titanesque et sa queue vient transpercer la cramouille si mouillée. L’instant d’après, Céline est pistonnée par une queue qui dilate, qui racle son vagin…Elle chante une mélodie bien douce, elle psalmodie son bonheur d’etre ainsi labourée….
Vincent est lancé. Version TGV. Il claque les fesses, flatte ces fesses si érotiques…Et il baise….
- Alors, salope, dis moi pas que tu jouis pas, hein ?
- Aaaah…
- Je sens bien que tu vas jouir, vas-y, allez, laisse toi aller, t’en as pas eu des comme ça pour te faire reluire la chatte, hein ?
- N-non….

Et la belle Céline se fait ainsi trousser pendant un bon gros quart d’heure ! Elle explose je sais pas combien de fois, elle crie, se pame, mais toujours elle réclame encore plus….

Vincent n’en demande pas tant et si un endroit est parfaitement nettoyé c’est bien l’étui brulant de l’Epicière !!!

- Allez, tu vas m’avaler mon foutre, vite à genoux !
-
Aucune espèce de résistance, Céline est à genoux, bouche ouverte et attends sa dose de sperme comme si elle communiait…

La main de Vncent s’active sur son mandrin et la queue décharge en long jets du foutre bien crémeux que l’Epicière avale avec délectation.

Elle suce longtemps la queue, la nettoyant et récupérant la moindre goutte.


Le père Vincent remballe son matériel et lui dit

- Je voulais un morceau de fromage. Du bleu. Et pis des bananes.
Céline ramasse sa culotte, la glisse dans la poche de sa blouse et file servir son client, après avoir rouvert la boutique….Les oreilles pleines de cette poésie si typique….
Depuis, périodiquement, Vincent vient se servir, de l’Epicière je veux dire. Vous voulez en connaitre d’autres, des conquêtes ? Dites le moi !

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